L'histoire derrière...

  • 1977

    Robert Olorenshaw et Patrick J. Rogers se sont rencontrés à une soirée des plus respectables chez Shakespeare & Company, librairie de Saint-Michel, à Paris, quand ils étaient encore jeunes étudiants.

  • 1970-1980

    Les 100 pièges de l’anglais : pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

    Selon les auteurs, dans les années 70-80, les livres qui traitaient de la grammaire anglaise étaient tous plus complexes les uns que les autres : certains avaient des pages interminables d’explications et d’autres se focalisaient uniquement sur des expressions idiomatiques.

     

    Aucun de ces livres n’était facile à comprendre. C’est pourquoi Robert et Patrick ont décidé de créer Pitfalls, qui plus tard devint « Les 100 pièges de l’anglais ».
    Ils n’ont mené aucune étude de marché avant de se lancer dans la création des 100 pièges. Ils ont pris pour cible un marché qui, intuitivement, semblait important : des adultes qui avaient passé des années à étudier l’anglais à l’école, mais qui avaient besoin de l’améliorer pour des raisons professionnelles ou personnelles, sans revenir à la case départ.

  • 1984

    De l’idée à l’écriture, de l’écriture à la publication

    En 1984, ils ont soumis une ébauche à la maison d’édition Marabout. À leur plaisir et surprise, cette ébauche a été acceptée.

  • Robert et Patrick ont écrit la plus grande partie du livre dans leurs petits studios étudiants de la rue Oberkampf et de la rue Mouffetard (11e et 5e arrondissements de Paris) le soir après leurs cours, et le week-end.

  • 1985

    Ils ont déclaré être chanceux d’avoir eu des relations hauts placées qui leur ont permis d’écrire quelques chapitres dans la maison provençale de Matthieu Galey, par exemple, le critique littéraire en chef de L’Express.

  • Le succès des 100 pièges

    Robert et Patrick ont touché dans le mille avec leur idée, puisqu’ils ont vendu près de 75 000 exemplaires du livre !
    Le journal Vocable a, par la suite, demandé à Robert et Patrick d’écrire une chronique mensuelle, et chaque numéro mentionnait Les 100 pièges—ce qui constituait une publicité régulière pour le livre.

  • 2017

    Une seconde vie pour Les 100 pièges

    32 ans après la publication des 100 pièges et 31 ans après la création de Lexcelera… attendez un peu… ces deux événements se sont donc passés au même moment ?

     

    Coïncidence ou providence ?

     

    Voilà qu’en 2017, Robert, Patrick, Lori et Misha se réunissent pour apporter une seconde vie aux 100 pièges de l’anglais en l’adaptant aux nouvelles générations, et en réajustant chaque leçon en fonction des nouvelles subtilités de la langue anglaise.

     

    Oui, parce qu’en 32 ans, l’anglais a eu, lui aussi, le temps d’évoluer.

     

     

     

    “I think we can tell such a great story about what a success it was, and now it’s being updated for a new generation of people who want to improve their English.”

    — Lori Thicke, CEO of Lexcelera.

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